Etape suivante plus facile : le décor des parties routières ... avec des véhicules. Il suffit d'acheter, le piège consistant à "trop" acheter et à transformer son plateau en parking de supermarché.
D'autant que, comme le répète à juste titre Philippe Cousyn, il faut si l'on reproduit une période passée prendre en compte le nombre de véhicules de l'époque. Ainsi, pour ce réseau se situant vers 1980, une recherche sur Wikipedia m'a permis de constater avec étonnement, que le parc automobile français était à l'époque de 20 millions contre près de 40 aujourd'hui !!!
Il y avait donc deux fois moins de véhicules sur les routes, 2 fois moins de voitures stationnées dans les villes, etc...
Sur le réseau, trois emplacement routiers : la place de la gare principale, un morceau de départementale avec un passage à niveau et un parking, enfin l'accès à la gare terminus.
Sans oublier le fourgon TAC bien utile pour disposer un échantillonage de voitures variées.
C'est parti, avec un aperçu des véhicules de l'époque :
sur le fourgon DD des belles berlines et des familiales, correspondant à la clientèle de ce genre de train :

Le niveau supérieur est plus rempli que l'inférieur, ce qui est contraire à l'usage, mais rendu nécessaire par l'impossibilité d'en caser en dessous : seule la CX a pu passer, les autres coinçaient (voitures trop hautes ou plafond trop bas ?). Point positif : ainsi, on les voit mieux...
Ailleurs, des véhicules plus modestes : nous sommes dans des bourgades rurales, des routes départementales, à l'époque, pas de SUV tapageurs...
Sur la place de la gare de Cerdon :

Une 504 et un vieux Berliet que l'on pouvait encore rencontrer à l'époque sur les petites routes, chez des transporteurs locaux ou des entreprises de BTP, comme c'est le cas ici (le modèle est tellement réussi, difficile de résister) :

(Notez les potirons dans le jardin et la cigogne sur la cheminée : est-ce possible en même temps ?)
Camion Mercedes alors très courant et la 4L du garde barrière (au toit ouvrant près, exactement ma première voiture) :

Deux Citroën que l'on ne présente plus :

Un SG2 qui livre le chantier équipement de Cerdon :

Et à Villeneuve, qui a reçu un petit parking pour l'occasion : entre autres une R5 (orange bien sûr) et un incontournable H, gris comme il se doit...

Pour finir, un autre "bien de chez nous" l'Unic Izoard (SAI), un peu basique au départ (voir photo plus haut) , mais ici amélioré avec plaques d'immatriculation, rétroviseurs et surtout pince à grumes, pour charger les R56 :
